Une montagne au loin
Et d’autres après encore
Dont nos pas se souviennent
Autour les sauvageons volubiles
Indifférents aux épines
Traversent les clôtures devenues leurs treilles
Toujours un bras tendu vers le pourpre
Le ciel couve ce reflet enamouré
Du bout de la verdure
La lumière en partage.
