Quand j’ai revu la maison blanche et verte
Mon cœur bien loin de l’amitié ;
Songeais à sa seule liberté.
Une porte ouverte
A balayé, en un jardin de fleurs,
Toutes les nausées de larmes non livrées,
Les mausolées du bonheur enterré
Et planté l’arbre des nouvelles heures.
Elle est ici la liberté vivante !
Son sentier ruisselle sur les collines.
Caressant chaque pierre, l’eau coquine
Va où son cœur chatouille, enchante
Et ose aller. Vers
Une maison blanche aux volets verts.
Hélène Bourgeais
Pour Hans
2005