Quand la tristesse m’effleure
Je pense à ta douleur
La couronne de fleurs
Dont tu ceignais mon front
Tu en portes les épines en des sillons profonds.
C’était l’écho, purement l’écho,
C’était l’égo, purement l’égo,
C’était l’écho de nos égos.
Laisse couler je t’en prie,
Laisse couler je t’en prie,
Laisse couler sur toi
Comme une fine pluie
Plus fine que l’oubli.
La terre boira tout
Elle nourrira des fleurs
Que l’avenir à son tour
Prendra pour le bonheur.
HMB 19/03/19